- Mesurer notre force collective
Signer une pétition, c’est affirmer une présence collective. Dans le cas de la loi Duplomb, franchir le seuil de 500 000 signatures ouvre un débat public à l’Assemblée nationale et donne aux citoyens une voix institutionnelle.
- Maintenir la pression sur vos élus notamment afin d’obtenir l’abrogation de la loi
Le nombre record de signatures montre qu’une part significative de la population rejette le texte. Cette mobilisation peut inciter des parlementaires, notamment sensibles aux enjeux environnementaux ou agricoles, à proposer l’abrogation ou la modification de la loi Duplomb.
Même si une pétition seule ne suffit pas, la répétition d’initiatives et d’événements peut influencer les décisions à long terme, peser sur les prochaines échéances électorales et maintenir le sujet dans l’espace médiatique.
- Demander une nouvelle loi pour une agriculture qui garantisse un niveau de vie décent aux agriculteurs et préserve le vivant et la santé
La pétition ne se limite pas à une opposition : elle réclame un débat national sur notre modèle agricole, la rémunération des agriculteurs, la santé publique et la protection de l’environnement
- Soutenir la démocratie participative
Signer, c’est exprimer un désaccord clair et exercer une pression démocratique. Chaque signature renforce la légitimité de la contestation, entretient la mobilisation et rappelle que les citoyens restent acteurs des décisions qui les concernent.